Chapitre 3 : La fin ?

Verrouillé
Harvards
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Chapitre 3 : La fin ?

Message par Harvards » jeu. 28 avr. 2016 11:59

"...Quelqu’un me tient par l’épaule. Enfin, une main. Pas une main fine et légère d’une femme qui vous attrape pour vous retourner et vous faire un bisou. Ni la main de votre père qui vous tapote l’épaule afin de vous encourager. Et encore moi la main de votre grand frère qui met sa main sur votre épaule afin de vous rassurer. Mais plutôt une main épaisse, et non rassurante, à ce que je ressens. Une main d’homme.
Lentement, il compresse mon épaule, comme si il voulait la broyer. Et ne pouvant point retenir la douleur qui s’envahi en moi, je commence à hurler de douleur. J’essaye de me retourner, de me débattre de toute mes forces afin que je puisse me détacher de cette étreinte. Mais rien ni fait. L’homme continu désespérément de s’acharner sur cette épaule meurtrie. Puis il me lâche, me retourne et, par un geste de générosité, peut être car il avait pitié de moi, me présente son jolie poing dans la figure, en me faisant vaciller dans un premier temps, et m’envoyant par terre dans un second temps.
Étourdi, le nez en sang, je comprends pourquoi personne n’osait voler les parachutes de ces deux gaillards aperçu précédemment. Et vu la réaction du deuxième, mon instinct avait raison : Ils ont bien formé un pacte pour nous exterminer. Car, comme là dit le présentateur : « vous pourrez le faire avec de la violence » et « Que la bagarre commence ! ». Je ne sais pas ce que je vais faire. Il faut qu’une idée de génie sorte de mon esprit, mais à moitié étourdie, et l’autre moitié remplie de douleur, il m’est bien compliqué de réfléchir dans ces conditions.
« Eh. Jerry !! Remet ce salop en place. Mais pas trop, car lorsque je me relève, et que je bois un coup, je te jure que ce minable va souffrir. Parole d’ami. Un coup de pied suffira ! » « Ne jamais dévoiler l’identité de ces alliés mon cher », mais malgré cette pensée, je peux rien faire. Jerry, par un geste de soumission, peut être, m’envoya valser de quelques mètres avec son coup de pieds. Je disais quoi déjà ? Moitié étourdie, et l’autre moitié remplie de douleur ? Enfin de compte, c’est plutôt un quart étourdie et trois quart envahi par la douleur. Il faut que je me reprenne en main.
Inspire. Expire. Inspire. Expire. Fait baisser mon rythme cardiaque au maximum. Inspire. Expire. Essayes d’oublier ce qui est autour de moi. Inspire. Expire. Mon esprit commence à quitter mon corps, laissant place à mon inconscience. Je change totalement de lieu. J’apparais dans une chambre. Un garçon de l’âge de 5 ans, joue avec ces jouets éparpillés un peu partout dans la pièce. Il rit comme un fou, s’amuse comme un enfant de son âge. Vu les caractères de son visage, j’en déduis que c’est moi. Mais des bruits retentissent. Ou plutôt des cris. Curieux, le garçon descend voir. Mon esprit le suit. Il arrive dans un salon, et caché dans les escaliers, regardent la scène qui se passe. Deux adultes. Une dispute conjugale. La femme commence à avoir peur quand l’homme s’approche d’elle. Elle se met en boule, en position fœtus. L’homme allume son cigare, et commence à la frapper. La frapper. La femme retient ces larmes, ces cris, pour ne pas éveiller les soupçons. Après l’avoir torturé, l’homme éteint son cigare sur elle. Et puis s’en va dehors. La femme commence à pleurer de toutes les larmes de son corps. Mais lorsqu’elle se retourna, elle les essuya vite fait, car elle vit l’enfant caché dans les escaliers. Par sentiment de honte, elle essaye aussi de cacher le sang qui coule sur son visage. Mais la question qui suit est étonnante, la femme demande à l’enfant la chose suivante : « Chéri, as-tu rangé ta chambre ? » Le garçon encoure sous état de choc en voyant cette scène réponds : « N….N….Non…. » «Va la ranger de suite alors !!! » Crie la femme. Le garçon s’enfuit en courant dans sa chambre, essayes tant bien que mal de verrouiller sa porte. Et commence à pleurer. Et cinq minutes plus tard, alors qu’il a séché ces larmes, il réentend un autre bruit étrange. Un co….

Je me réveille en sursaut ! Suis-je mort ? Ou vais-je mourir ? J’essaye de détecter la moindre blessure possible que je puisse avoir. Mais à part le nez et l’épaule, je n’ai mal nulle part. J’en déduit donc que le coup de fusil qui a été tiré sur cette ile étrange ne me visait dans aucun cas. Mais le doute s’installe. Le petit garçon, a qui j’ai promis de lui ramener de quoi se nourrir, était t-il visait ? Pas le temps de m’inquiéter car une voix apparait près de moi et dit : « Ne me remercies pas. C’était lui ou toi et moi. » ……"

La suite dans le prochaine chapitre.
N"hésitez pas à me donner vos avis sur cette histoire sa fait toujours plaisir.
Bonne journée/Soirée

Harvards
Quoi qu'il t'arrive dans ta vie, garde le sourire, c'est la chose la plus belle que tu as ;)

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