Chapitre 4 : La vie sauve.

Verrouillé
Harvards
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Chapitre 4 : La vie sauve.

Message par Harvards » ven. 13 mai 2016 09:50

…Une voix apparait près de moi et dit : « Ne me remercies pas. C’était lui ou toi et moi. »
Une vision d’horreur apparait juste devant moi. Bizarrement voir Jerry et son ami allongé par terre, juste devant moi, avec du sang qui dégouline autour d’eux ne m’impressionne guère. Je comprends encore une fois que le lieu où je suis n’est pas un rêve et encore moins un jeu où tout le monde est gentil, jouons ensemble. Il ne faut dans aucun cas avoir peur de tuer quelqu’un, et je comprends que je serais capable de faire cet acte horrible, qui réduirait la vie d’une famille à néant.
Je me retourne pour voir qui est « mon sauveur ». Pur coïncidence ? La personne ayant tué ces deux gaillards est le roux que j’ai pu apercevoir il y a à peine 10 minutes en train de comploter avec la fille.
« Ne croit pas que l’on va faire une alliance avec toi, on n’a pas besoin de boulet. On voulait juste récupérer leur parachute car quelque chose nous dit qu’il y a quelque chose de génial dedans. Gabriel a trouvé une arme, enfin un AMT dans le sien. Il a eu de la chance en plus des vivres, on va tenir quelque temps. Bien évidemment tu peux garder le tien, on en a rien à faire » « Merci bien de m’avoir sauvé la vie », je réponds à cette fille Blonde. « Gardes tes merci pour toi, car la prochaine fois que l’on se verra, ça sera en temps qu’ennemi » me reprit Gabriel, le roux. « Si cela ne vous dérange pas, je m’en vais à la recherche de ce temple qu’à parlé le présentateur tout à l’heure. A la prochaine et bonne continuation dans ce monde étrange. »
C’est ainsi que je suis parti essayé de retrouver le petit garçon a qui j’ai promis de lui ramené de la nourriture. Direction le soleil, à l’arbre le plus haut de cette étrange plateforme. En marchant, je ne puis m’empêcher de regarder de quoi est composé le parachute, afin la Sac-Parachute. A l’intérieur, des pommes, du riz (à la louche je dirais 100 grammes), du pain, des gâteaux, une bague dont je ne sais pas à quoi elle peut bien servir (je verrai bien par la suite), de l’eau, deux silex qui va surement me permette de faire du feu, et un couteau. De quoi survivre quelques jours, si on fait bien attention à notre sac. De plus, je peux voir qu’il y a aussi quelques pièces, mais je ne sais pas non plus à quoi sert-elle.
J’arrive enfin au pont qui mène à un dirigeable, et au milieu de ce dernier, l’arbre en question. Je regarde par-dessus le pont et là stupéfaction : Je me trouve sur une ile volante !! Le vide s’offre à moi, prêt à nous dévorer si nous tombons. Le doute s’installe : Le petit n’aurait quand même pas pu passer s’engouffrer dans ce dernier ? Je ne pense pas.
J’empreinte le pont et arrive enfin au tronc de l’arbre. La traversée a été plutôt paisible, seule une légère brise m’éraflait le visage avec les rayons du soleil matinal. Quand tout un coup, bruit d’un pétard. Puis un deuxième. Puis un troisième. Je sors mon couteau, lorsque la voix de l’animateur réapparait dans le ciel de plus en plus fort : « Déjà trois mort ? Ce n’est pas beau tout cela. Chers et chères participants, si vous voulez voir le visage de nos malheureux qui ont rejoint le ciel, vous pouvez le faire à partir de vos montres solidement attachées à vos poignets. Vous ne pourrez donc jamais les enlever. (Encore ce petit rire qui nous casse les oreilles). Vous verrez donc chaque jour, les personnes qui arrivent sur l’île et les personnes qui mourront. Bon jeu à tous et à toute »
La voix disparait, et je ne puis m’empêcher de regarder ma montre. Le visage de Jerry apparait, puis celui de son pote, qui se nommait Harry, d’après la montre. Puis le visage d’une femme, assez laide et vieille vu les rides qu’elle possède. Elle se nommait Virginie. Je verrais comment marche ma montre plus tard, car il faut a tout pris que je retrouve le pauvre gosse qui mourrait de faim.
Je commence à regarder dans les branches pour voir si je ne vois pas le petit. Les yeux en l’air, je ne le vois pas. Je commence à crier (Enfin un cri atténué) si il m’entend. Aucune réponse. Je fis un autre pas autour du tronc, lorsque, tout un coup, une corde s’entoure autour de ma cheville, remonte en m’emportant, et me retrouve la tête au sol, pendu par les pieds. Un piège…
Quoi qu'il t'arrive dans ta vie, garde le sourire, c'est la chose la plus belle que tu as ;)

Darkness_Foufou
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Enregistré le : sam. 7 nov. 2015 17:55

Re: Chapitre 4 : La vie sauve.

Message par Darkness_Foufou » sam. 14 mai 2016 08:51

Tu peux pas nous laisser là !!!!!! :ugeek: :!:

J'ai hâte de voir la suite
Foufou :

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